À force de se tirer dans le pied avec les arrestations de masse, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a fini par limiter le recours à cette technique controversée au cours des dernières années.
Des document internes de la Sûreté du Québec (SQ) obtenus en vertu de la Loi d'accès à l'information lèvent le voile sur l'étendue de l'opération de surveillance des manifestants lors du Sommet de Montebello, en 2007: 26 agents civils étaient sur place, jour et nuit, dans le cadre de cette opération baptisée «Flagrant délit».